Faire ses devoirs, ramasser les pommes tombées de l’arbre pour en faire de la compote, effectuer un stage, passer ses examens, préparer un entretien d’embauche, faire sa vaisselle, exercer un métier, faire son repassage, éduquer les enfants, donner de son temps libre à une association, présider un comité de parents à l’école, réparer sa toiture, former son remplaçant, écrire ses mémoires… Le travail, c’est la vie.
On le fait par choix ou par obligation, avec les pieds de plombs ou par plaisir, bénévolement ou contre rémunération. On l’effectue au bureau ou à l’usine, dans le jardin ou à l’école, de jour comme de nuit, pour le bien commun ou pour sa propre santé mentale. C’est un hobby ou un métier.
Nous y passons tou–te-s. Avec plus ou moins de bonheur. Il nous apporte compétences, savoir-faire et savoir-être. Il nous fait grandir, nous honore ou nous ennuie. Il occupe la majeure partie de notre temps. Et nous avons toutes et tous quelque chose à dire à son propos.
A La Fonderie, le travail nous intéresse, voie même nous obsède. Nous le décortiquons, l’étudions, l’exposons, et transmettons ce qu’il nous apprend. Et pour cela, on a aussi besoin de vous…
Voici 4 projets d’éducation permanente. 4 façons bien distinctes qui vous permettent de témoigner de votre travail…
Une table, quelques verres, deux, trois ou quatre personnes assises… Ils et elles discutent de leur travail. « Que fais-tu ? » ; « ça se passe comment ? » ; « tu trouves ton travail utile ? » ; « qu’est-ce qui t’a donné envie de faire ça ? » ; « comment crois-tu que ton travail va évoluer ? »…
La conversation est enregistrée. Cet enregistrement sera versé dans la base de données de mémoire orale du centre de documentation de La Fonderie. Une capsule audio sera montée et diffusée sur notre site internet. Et la matière ainsi recueillie servira à la rédaction d’un Dictionnaire subjectif du travail. Autant de façons de faire profiter le plus grand nombre d’entre vous de l’intéressant échange qui aura eu lieu.
Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici…
Ces métiers qui sont les nôtres
Un groupe de personnes qui au départ, ne se connaissent pas. Des rencontres, des visites, des animations, des jeux, des débats, des ateliers… Pendant un an, nos métiers seront le fil conducteur de nos activités et à travers eux, nous apprendrons à mieux nous connaître.
Durant la deuxième année, nous dissèquerons ce que nous avons dit et fait l’année précédente. Avec l’aide d’un comédien et metteur en scène, nous en ferons du théâtre amateur.
Pour en savoir plus sur le projet, cliquez ici…
Atelier d’écriture “Une vie de labeur”
Quand j’étais petit-e, je travaillais… ; Faites le portrait d’un travailleur dans un siècle ; Écrivez l’épitaphe de votre travail.
Voici quelques exemples de consignes données aux participant-e-s à cet atelier d’écriture qui se veut à la fois créatif et documentaire. Ici, l’animatrice ne corrige pas votre style et ne vous donne aucun truc d’écrivain, sauf à la demande mais ce n’est pas le but. Elle met en place par contre un contexte et utilise une méthode de travail pour vous inspirer un maximum de textes sur les mille et une formes que prend votre travail, au quotidien ou plus particulier. Elle fait émerger des récits parfois documentaires, parfois plus fantaisistes, qui contribueront à documenter l’histoire du travail à Bruxelles, hier, aujourd’hui et demain.
Pour en savoir plus sur ce projet, cliquez ici…
Bilan : groupe de paroles pour jeunes retraités
Après avoir effectué un, deux, ou une multitude de métiers, il est temps de faire « place aux jeunes » comme on dit, et de prendre « un repos bien mérité ». Mais à quoi aspirez-vous réellement ?
Vous êtes jeune retraitée ou retraitée ou en passe de le devenir. Vous avez derrière vous une carrière riche en enseignements et devant vous… l’inconnu. Vous avez envie de retracer l’histoire de votre carrière, d’en faire le témoignage et, ce faisant, de réfléchir avec d’autres à la suite. Nous vous proposons de rejoindre notre groupe de parole qui débutera en février (à condition que la situation sanitaire le permette et si ce n’est pas le cas, nous trouverons une façon de le faire… autrement).
Pour en savoir plus sur ce projet, cliquez ici…